In n0. 4 Oktober-Januari 1901 op pag. 18-19 een tekst over Willette. Zie onder de afbeeldingen.
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[-] Pas tout à fait, cependant: une dernière fète (en attendant la fête du Champagne annoncée) a réuni, en décembre 98, les amis du Courrier, et mérite une courte mention, pour que la chronique des fêtes de caractère données par leur initiateur n’ait pas de la- cunes. Quelques costumes: Le poète Hugues Delorme, gascon de Rouen, magnifiquement drapé dans les authentiques loques sous lesquelles Frédérick jouait don César. Willette, dans son traditionnel Pierrot de soirée, et qui serre bien fort le bras d’une Pierrette fraichement éclose au jardin de ses amours. Mm L…, une grande dame du faubourg, qui est aussi une délicieuse artiste (comme Gyp elle-même), un Watteau descendu des Plaisirs champêtres, et le prince son époux, dont tous les diamants brillent à l’aigrette de son turban de rajah d’Angor. – Yvette Guilbert, qui, seule, échappe à la loi du déguisement.
Henri Guillaume, l’ingénieux architecte de l’Aquarium de Paris, dans un vêtement que lui seul pourrait définir et expliquer; mais il se contente d’assurer sa parfaite exactitude. Voici Fougère, espagnole comme Delorme est gascon, et dont le vif-argent seul peut donner une idée très affaiblie. Lucien de Beaumont, caché sous le heaume d’un casque hermé- tique, percé seulement, sous le grillage des yeux, d’un petit trou à la hauteur des lèvres; mais c’est assez pour que l’esprit de l’Académicien d’Étampes en jaillisse comme d’une source vive. Willy, qui pourrait, si elle voulait, remporter la couronne aux jeux olympiques des Quat’z-arts. Polin, qui s’amuse à garder son air gêné d’ordonnance invitée au bal de la générale,……