Le 3 Avril 1925
Cher Monsieur,
Comme vous l’aviez promis, de venier, avec Dézé, prendre, aujourd’hui vendredi. livraison de votre dessin qui est prêt, je vous ai attendus en vain. ce dont je suis inquiet. j’espère que ce n’est pas un événement facheux qui aurait fait obstacle à votre visite si désirée car je met faisais une joie de connaitre votre satisfaction.
Je dois, le 8 ou le 9, partir en vacances avec ma petite famille, veuillez allors me fixer un nouveau rendez-vous avec votre heure, ou si vous ne pouvez avant cette époque, venir à Paris, je vous enverroi mon dessin recommandé; mais, en cas, j’ai toujours peur d’un aceroc et même d’une disparition comme celà m’est déjà arrivé.
Je vous serre cordialement la main, A. Willette.